Al-Qaida au Maghreb islamique ou AQMI est une organisation islamique armée d'origine algérienne. Cette organisation a changé de nom le 25 janvier 2007, elle s'appelait auparavant le Groupe salafiste pour la prédication et le combat.
L'organisation est placée sur la liste officielle des organisations terroristes des États-Unis, de l'Australie et de la Russie.
Si les racines du groupe se trouvent en Algérie, la zone d'opération s'est étendue et correspond aujourd'hui à la région désertique du Sahel qui s'étend des régions semi-arides du Sénégal jusqu'à certaines parties de la Mauritanie, du Mali et du Niger.
En juillet 2010, la branceh AQMI aurait entre 80 et 200 membres.
L'Italien Sergio Cicala et son épouse, Philomène Kaboré, originaire du Burkina Faso, détenus en otage depuis quatre mois par Al-Qaïda au Maghreb islamiquesont libérés le 16 avril 2010.
Un humanitaire français, Michel Germaneau est enlevé le 19 avril 2010 au Niger par une cellule d'Aqmi dirigée par l'Algérien Abdelhamid Abou Zeïd, réputé « violent et brutal ».
Le 24 juillet 2010, le chef de l'Aqmi annonce l'exécution de l'otage français.
Lors d'un conseil restreint de défense et de sécurité tenu en urgence le 26 juillet 2010 à L'Élysée, le président français Nicolas Sarkozy confirme la mort de Michel Germaneau, il condamne « cet acte barbare, odieux, qui vient de faire une victime innocente » et assure que « le crime commis contre Michel Germaneau ne restera pas impuni ».
Fin août, deux otages espagnols, sont libérés par AQMI. Cette libération aurait donné lieu au payement d'une rançon et à la libération d'un membre de l'organisation. La France dénonce l'attitude espagnole dans le règlement de cette affaire. AQMI parle quant à elle d'une « leçon » pour la France et ses services secrets.
L'organisation est placée sur la liste officielle des organisations terroristes des États-Unis, de l'Australie et de la Russie.
Si les racines du groupe se trouvent en Algérie, la zone d'opération s'est étendue et correspond aujourd'hui à la région désertique du Sahel qui s'étend des régions semi-arides du Sénégal jusqu'à certaines parties de la Mauritanie, du Mali et du Niger.
En juillet 2010, la branceh AQMI aurait entre 80 et 200 membres.
2007 :
Le groupe a fait de nombreux attentats. En décembre, des menaces précises d'attentats ont amené à l'annulation de la course du Paris-Dakar, alors qu'un réseau d'appui aux maquis algériens, en partie constitué d'ancien djihadistes afghans, était démantelé en France.2008 :
Début janvier 2008, les autorités françaises font état de nombreuses menaces proférées sur le site salafiste al-Ekhlass. Il y a eu un appel aux islamistes à perpétrer le plus possible d'attentats en France afin de « provoquer la chute du président Nicolas Sarkozy (...) un effondrement économique de la France »2009 :
L'année 2009 est marquée par une recrudescence d'enlèvements de ressortissants occidentaux contre le paiement de rançons.2010 :
Le 11 janvier 2010, Al-Qaida au Maghreb islamique a menacé d’exécuter l’otage français, si quatre de ses "combattants" détenus au Mali n’étaient pas libérés d’ici le 30 janvier. Sous pression, le Mali libère finalement les quatre islamistes pour la libération de l'otage.L'Italien Sergio Cicala et son épouse, Philomène Kaboré, originaire du Burkina Faso, détenus en otage depuis quatre mois par Al-Qaïda au Maghreb islamiquesont libérés le 16 avril 2010.
Un humanitaire français, Michel Germaneau est enlevé le 19 avril 2010 au Niger par une cellule d'Aqmi dirigée par l'Algérien Abdelhamid Abou Zeïd, réputé « violent et brutal ».
Le 24 juillet 2010, le chef de l'Aqmi annonce l'exécution de l'otage français.
Lors d'un conseil restreint de défense et de sécurité tenu en urgence le 26 juillet 2010 à L'Élysée, le président français Nicolas Sarkozy confirme la mort de Michel Germaneau, il condamne « cet acte barbare, odieux, qui vient de faire une victime innocente » et assure que « le crime commis contre Michel Germaneau ne restera pas impuni ».
Fin août, deux otages espagnols, sont libérés par AQMI. Cette libération aurait donné lieu au payement d'une rançon et à la libération d'un membre de l'organisation. La France dénonce l'attitude espagnole dans le règlement de cette affaire. AQMI parle quant à elle d'une « leçon » pour la France et ses services secrets.
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